IndoorSeries 2021-2022 Round 5,
Savigny, Suisse, 19-20/03/2022.

Edité le 12/04/2022.
Réactualisé le 15/04/2022.
Texte et photos: Georges.

Introduction.

Après deux manches annulées en raisons des mesures sanitaires, retour sur la piste pour cette cinquième manche des IndoorSeries 2021-2022 organisée par le club IRCR (Indoor RC Romand)! Compte-tenu des conditions, la participation était bonne avec 29 inscriptions en Touring Cars 13.5T, 16 en PanCar 1/12° et 8 en Formule 1.

Pour compenser la perte de ces deux manches, le club a ajouté à son calendrier une manche "3 1/2" qui aura lieu les 9 et 10 avril 2022.

La piste.

Le tracé de la piste choisi pour cette manche se voulait, comme lors des deux précédentes manches, très technique. Il se pratiquait dans le sens antihoraire.

Comme à l'accoutumé, le tracé était très intéressant et plaisant à rouler, faisant la part belle à la régularité et à la propreté du pilotage, même si des prises de risques et des nerfs d'acier étaient indispensables pour qui visait un podium.

Technique Formule 1.

La Yokomo YR10F de Jean Hannecart.

Les Yokomo sont rares, très rares en catégorie F1. Pourtant, la YR10F est une belle auto, de conception classique mais de réalisation soignée.

L'auto, sensiblement d'origine et monté avec un châssis carbone, en photos ci-dessous appartient à Jean Hannecart, qui roulait également en catégorie Touring Car, et qui a fini sur la troisième place du podium. Elle est propulsée par un moteur Hobbywing JustStock 21.5T. A remarquer l'utilisation d'un récepteur Ruddog RR402 compatible Sanwa FH4.

La Roche Rapide Evo de Marc Noth.

Marc Noth roulait ici avec l'avant-dernier modèle de Formule 1 de la marque roche, à savoir la F1 Evo. Son auto était équipée de plusieurs options telles que châssis en aluminium, supports de biellette latérale en aluminium et support d'aileron relié directement au châssis. Sur son auto était monté un moteur Surpass rocket V4S 21.5T et un contrôleur Hobbywing Xerun XR10 Pro.

A l'instar de plusieurs pilotes en catégorie Formule 1 de la région, Marc a remplacé la fixation par clips de la carrosserie à l'avant par un système magnétique. Ce dernier consiste, du côté châssis, d'un aimant puissant et compacte et, côté carrosserie, d'une petite pièce en un matériau ferromagnétique collée à l'intérieur. Le principal avantage, hormis l'esthétique, est d'éviter à la carrosserie de se déchirer au niveau du trou de fixation.

Technique Piste 1/12°.

La Awesomatix A12 de Patrick Hofer.

Patrick Hofer, poleman et vainqueur de la finale A en catégorie PanCar 1/12°, roule avec une Awesomatix A 12 sensiblement d'origine (y compris le spool (axe rigide) arrière), hormis l'implantation de lests (pour probablement 20 grammes au total) à l'arrière au niveau de longerons latéraux flexibles, une pratique très répandue (et justifiée) chez les adeptes nombreux de cette auto, et un parechoc alvéolé réalisé en impression 3D (ou fabrication additive pour être plus exact). Cet accessoire, qui va devenir à la mode, présente de nombreux avantages, légèreté, bonne absorption des chocs, et il ne flue pas comme les parechoc en mousse au point de toucher le sol. Celui employé par Patrick est semble-t-il d'origine bavaroise (Spori?), mais de plusieurs autres marques (Fabtek Engeeniring, OPR (Ollie Payne Racing), par exemple) commencent à en proposer.

La première fois qu'on a pu voir de parechocs alvéolés, c'était semble-t-il sur le fantastique blog japonais Twelblog (à consulter impérativement pour tout adepte de la catégorie PanCar 1/12° qui se respecte, de préférence en mode "Classic view") en 2019, et c'est probablement la marque japonaise méconnue Sagami RC Fab (SRF) qui a été la première à en commercialiser, et qui semble être toujours celle qui propose les designs les plus aboutis dans ce domaine. Les pilotes japonais semblent expérimenter de nombreuses formes de parechocs imprimés en 3D, monobloc ou en deux parties, avec des alvéoles plus ou moins grosses et parfois des zones pleines, en différentes largeurs, voir avec des effets aérodynamiques et/ou épousant au plus près la forme de la carrosserie pour la protéger au mieu et la stabiliser à haute vitesse, et ce pas uniquement sur des Awesomatix A12. On commence d'ailleurs à voir apparaître ce style de parechocs sur les Touring Cars également, et même si les propositions actuelles restent relativement classiques, nul doute qu'on devrait voir des choses très intéressantes dans un proche avenir.

La Awesomatix A12 de Patrick Hofer était motorisée par un moteur Surpass Rocket V5R 13.5T, géré par un contrôleur Team Orion Vortex R10 Pro V2 1S et alimenté par des accus Team Orion.

La Yokomo YRX 12 2019 de Fabian Luca Widmer.

A l'instar des Yokomo Formule 1, les Yokomo Pan Car 1/12° se font elles aussi discrètes dans nos contrées. Pourtant, la YRX 12 (ou YR-X12, les deux dénominations coexistant chez le fabricant japonais pour le même produit) ne manque ni d'originalité technique, ni de performance comme le montre la seconde place sur le podium de Fabian Luca Widmer.

Le train avant bénéficie par exemple d'une suspension à double triangulation assistée d'une paire de combinés amortisseurs à graisse et ressorts. On remarquera sur les triangles supérieurs que leur renfort entre les deux points d'articulation par rotule semble avoir été coupé, sans doute pour permettre des réglages plus aisés.

La direction bénéficie d'un renvoi à 90°, ce qui permet de reculer sensiblement le servo de direction.

Le différentiel à billes, fort compact, bénéficie de la fameuse butée magique Yokomo. Ce type de butée monobloc fonctionne infiniment mieux que les butées à billes en trois parties. On trouve ce type de butée monobloc chez Yokomo sous la référence YOK-R12-24TB, chez SMS (Select Model Shop), chez Fenix sous la référence FX0043A et chez Square sous la référence SDD-125 par exemple.

Le châssis est d'origine en aluminium sur la version 2019, la dernière en date. La YRX 12 ne semble d'ailleurs plus être au catalogue de Yokomo actuellement.

La Yokomo YRX 12 2019 de Fabian Luca Widmer était motorisée par un moteur Hobbywing Xerun V10 G3 13.5t régulé par un contrôleur Yokomo BL-Pro4.

Technique Touring Car.

La Awesomatix A800 MMX de Patrick Hofer.

Patrick Hofer roulait en catégorie PanCar 1/12°, mais également en catégorie Touring Cars au volant d'une Awesomatix A800 MMX, équipée d'un châssis en aluminium et quasiment de boîte, catégorie dans laquelle il a fini second de la finale A.

Son auto était motorisée par un moteur Performa Racing P1 13.5T et un contrôleur Surpass Rocket 160A alimenté par des batteries Performa. Le servo de direction est un PowerHD S15.

La Mugen Seiki MTC2 de Florent Denervaud.

Pour cette manche, Florent Denervaud avait troqué sa Team XRay pour une Mugen MTC2 en photos ci-dessous. Le contrôleur est un Team Orion R10 et le moteur un MuchMore Fleta ZX V2.

La Team XRay T4 2021 d'Alex Carusi.

Malgré la sortie récente de la Team XRay X4, beaucoup de pilotes font toujours confiance aux autos de la génération T4, toujours largement dans le coup, avec deux gros atouts, une robustesse et une fiabilité que n'atteignent plus les productions haut-de-gamme récentes.

En photos, ci-dessous la Team XRay T4 2021 d'Alex Carusi.

La Awesomatix A800 MMX de Jean Hannecart.

Jean Hannecart roulait en catégorie Formule 1 comme déjà écrit plus haut, mais également en catégorie Touring Cars au volant d'une Awesomatix A800 MMX, équipée d'un châssis en aluminium et sensiblement de boîte, hormis quelques menus options telles que platine de parechoc en carbone et fixation de colonnettes de carrosserie verticale à l'arrière.

Son auto était motorisée par un Air X 13.5T du fabricant français PRT Electronic, un moteur qui propose bon nombre de solutions techniques intéressantes. Le moteur est plus compact que la moyenne, et la cage semble bien ventilé, sans faire de compromis hasardeux sur sa rigidité. Les deux roulements à billes, de dimensions respectables, sont accessibles facilement et biens guidés. De petits joints toriques sur l'arbre du rotor assurent un chemin de billes obliques aux roulements. Les fils du stator sont soudés directement aux borniers, qui se trouvent sur le flanc extérieur et non au niveau du diamètre extérieur. Le contrôleur est un LRP Electronic Flow X, et le servo de direction un Highest-RC DLP650B (compatible avec le mode SSR de Sanwa), qui reste une référence, malgré la percée récente des PowerHD, également bien placés en rapport qualité-performance-feeling-prix. Les batteries LiPo sont de la marque Team Silverback. Comme une bonne partie du plateau, ce pilote utilisait une carrosserie ZooRacing Wolverine.

La Mugen Seiki MTC2 de Haupt Non-Merens.

Sur la Mugen Seiki MTC2 de Haupt Non-Merens, on pouvait noter entre autres des pièces optionnelles d'origine RC-Maker comme des lests en bronze à l'avant sur le châssis (en aluminium) sous les biellettes de direction qui possèdent la particularité d'être réglable en position grâce à un trou oblong, des plaques de réglages rapides du centre de roulis elles aussi en bronze sous les fixations des triangles de suspension, ainsi qu'un système de montage spécifique pour la fixation de l'arrière avec colonnettes horizontales (visibles ci-dessous sur la dernière photo).

Sur cette auto était également monté le système Active Shock Tower Rear (vendu sous la référence MUGA2543 pour l'arrière et MUGA2542 pour l'avant) à l'arrière uniquement. Ce système est censé permettre au train arrière d'accroitre sa stabilité dans les virages serrés et au train avant d'accroitre sa stabilité sur les passages de vibreurs et en virage. Le principe est assez simple. Chaque support d'amortisseur est articulé de sorte que lorsque l'amortisseur est en compression, le support est en butée, et lorsque le l'amortisseur n'est pas en compression, le support est libre de mouvement, donc la roue peut retomber sous son propre poids plus vite que sous l'influence de la détente de l'amortisseur.

Le moteur est un Orca Blittreme 2 13.5T, le variateur un Orca Oe101, remarquable par compacité et sa faible hauteur, dédié aux classes Stock Blinky et Open, et qui ne semble pas nécessiter de refroidissement par un ventilateur dédié. Le servo de direction est un PowerHD S15-M, spécialement dédié à la MTC2. La carrosserie est ZooRacing Wolverine, très appréciée des pilotes sur cette surface.

La Mugen Seiki MTC2 de Levin Hirschi.

La Mugen Seiki MTC2 de Levin Hirschi était motorisée par un Hobbywing Xerun V10 G3 régulé par Hobbywing Xerun XR10 Pro G2, le tout alimenté par des batteries IP Intellect. Le servo de direction est un PowerHD S15-M, version dédiée à la MTC2. On aussi remarquera quelques pièces optionnelles d'origine RC-Maker comme des lests en bronze à l'avant sur le châssis (en aluminium), ainsi que des courroies low-friction blanches par exemple.

La Team XRay X4 de Daniel Burgener.

LaTeam XRay X4 de Daniel Burgener était motorisée par un Hobbywing Xerun V10 G3 régulé par Hobbywing Xerun XR10 Pro G2. On notera la présence du servo de direction BrunoRC spécifiquement dédié à cette auto.

Concernant la X4, il semblerait que, depuis mars, Team XRay inclut maintenant dans ces kits d'origine toutes ou au moins une partie des pièces "HD V2" renforcées (paliers de cellules, bras de direction, pièces d'ancrage des triangles supérieures...). Une information à prendre au conditionnel, car les rares publications à ce sujet ont été effacées.

La Team XRay T4'2021 de Gaël Favez.

Gaël Favez, qui travaille au magasin Swiss RC ProTech situé à Saint-Légier-La Chiséaz, roulait à cette manche avec une Team XRay T4'2021 en version châssis en aluminium.

Son auto était motorisée par un Hobbywing Xerun V10 G3 13.5T régulé par Hobbywing Xerun XR10 Pro G2, le tout alimenté par des batteries GenAces. Le servo de direction est un SRT BH8015 low profile.

Technique moteur.

Le tracé étant très technique, nombre de pilotes ont calmé leur motorisation en catégorie Touring Cars. Certains sont même repassé en mode "Blinky" avec leur moteur 13.5T pour générer moins de fautes et mieux soigner leurs trajectoires. Un des pilotes parmi les plus rapides du plateau de ce jour a même confié avoir ressorti un ancien moteur 13.5 quasi Vintage à l'aimantation lessivée pour doser au mieux l'accélération! Trois pilotes roulaient également avec un moteur 17.5T avec du timing variable, plus docile qu'un 13.5T.
De bons exemples pour ceux qui sont persuadés qu'il faut absolument moteur et batterie de dernière génération et ouvrir les potentiomètres à fond sur son contrôleur pour performer. En fait, cela sert surtout à se retrouver plus vite coincé une poutre et à perdre du temps.
Autre exemple pour illustrer ce propos, un des pilotes (motorisé par un 17.5T) a gagné une des manches de sa finale en ayant le plus mauvais meilleur temps au tour. Paradoxal? En réalité, non, car la régularité paye le plus souvent bien.

Dans toutes les catégories, on notera la présence d'une écrasante majorité de moteurs et de contrôleurs Hobbywing, qui domine le marché en ce moment.

Technique carrosserie.

Sur certaines Touring Cars, on voit depuis quelques temps un système de montage spécifique pour la fixation de l'arrière la carrosserie avec colonnettes horizontales d'origine RCMaker.

Chacune des deux pièces de ce système est composé de deux parties, une première imprimé en 3d qui se monte au niveau de la fixation d'aileron, et une seconde formée par une patte en carbone comportant un trou de passage pour une colonnette horizontale de carrosserie. Le système est intéressant techniquement, car il permet de régler finement la hauteur de la partie arrière de la carrosserie, et évite un déchirement de cette dernière, car les carrosseries actuelles ne sont pas (encore) dessinées pour ce type de fixation. Plutôt intéressant techniquement donc, mais il y a deux inconvénients à ce système. Premièrement, le système est monté à demeure dans la carrosserie, donc il en faut un par carrosserie, et deuxièmement, le prix qui représente un peu 4/5 du prix d'une carrosserie.

ZooRacing a sorti depuis peu une nouvelle carrosserie Touring Car, la Anti (référence ZR-0014), visible en photo ci-contre. Toutefois très peu de pilotes en disposaient, mais d'après les retours, elle se comporte comme une Wolverine avec un arrière un peu plus stable.

La Wolverine fait un carton parmi les pilotes, même si parmi les pilotes les plus rapides ont trouvent des ZooRacing Dogsbollox et XTreme Twister, et quelques plus rares BittyDesign Hyper HR et une P-One Rapide. Cette dernière carrosserie, peu connue, adopte les canons actuels (avant agressif, renforts de malle arrière, arches de toit marqués, etc.), mais il y a peu de retours la concernant. La XTreme Brutale qu'on a beaucoup vu lors des manches précédentes se faisait beaucoup plus rares. Beaucoup de pilotes la trouvaient en effet trop brutale dans ses réactions!

Pour revenir à la ZooRacing Wolverine (référence ZR-0011), elle a été remplacée par la Wolverine MAX (référence ZR-0015). Les changements sont minimaux et ont été effectués pour le passage d'homologation EFRA. La référence ZR-0015 est donc homologuée EFRA, la référence ZR-0011 non.

En catégorie PanCar 1/12°, il n'y a pas vraiment de consensus. En effet, si les carrosseries ont une influence énorme sur le comportement de l'auto, et particulièrement dans cette catégorie, le choix des pilotes reste une affaire de goût, certains préférant une auto calme, d'autres préférant une auto très agressive. On trouve ainsi des BittyDesign, Robox ou LSM19, des ZooRacing Drakster, des Montech M20 ou MT21 et des classiques Protoform AMR12, cette dernière faisant un retour en force malgré les nouveautés récentes dans ce domaine.

En catégorie Formule 1, il n'y a pas vraiment de consensus non plus au sujet des carrosseries. Et c'est tant mieux pour la variété du plateau!

Résultats de cette manche.

Les résultats complets se trouvent à l'adresse suivante: https://www.myrcm.ch/myrcm/main?pLa=fr&dFi=indoorseries&dId[E]=60726&hId[1]=search#

Résultats en catégorie Formule 1.

En qualification, les écarts se resserrent, mais Chrigu Baeriswyl tient bon et décroche la pôle-position malgré tout, devant Jean Hannecart qui participait pour la première fois à une manche des IndoorSeries et le toujours véloce Antoine Dubois.

En finale A, Chrigu gagne la première manche, et Antoine la seconde. En gagnant la troisième manche, Chrigu s'adjuge la première place sur la podium. Antoine monte sur la seconde marche, et, Jean, régulier, sur la troisième.

Finale

Position

Catégorie

Pilote

Total
points

Points
par manches

Châssis

A

1

Formule 1

Chrigu Baeriswyl

2

1:1, 3:1 [2:4]

Team XRay X1 2021

A

2

Formule 1

Antoine Dubois

4

2:1, 3:3 [1:4]

Team XRay X1 2021

A

3

Formule 1

Jean Hannecart

4

3:2, 1:2 [2:2]

Yokomo YR10F

A

4

Formule 1

Marc Noth

7

2:3, 3:4 [1:5]

Roche

A

5

Formule 1

Sylvio Kiesewetter

8

1:3, 3:5 [2:5]

Team XRay X1 2021

A

6

Formule 1

Peter Forster

12

3:6, 2:6 [1:7]

Team XRay X1

A

7

Formule 1

José Arza

13

1:6, 3:7 [2:7]

Team XRay X1

A

8

Formule 1

Olivier Dubois

16

1:8, 3:8 [2:8]

Team XRay X1 2020

Résultats en catégorie Pan Car 1/12°.

En qualification, ça roule très vite aux avant-postes. Ainsi pas moins quatre pilotes franchissent la barre des 31 tours sur cinq minutes. Patrick Hofer décroche la pôle-position un cheveu devant Fabian Luca Widmer et Jean-Philippe Michel.

Patrick gagne les deux premières manches de finale A et assure ainsi sa première place sur le podium. Fabien est second et Cédric Ansermoz, cinquième en qualification, remonte à la troisième place à l'issue des finales.

Abel Martinez gagne la finale A devant Laurent Maggi et Vincent Goublaire.

Finale

Position

Catégorie

Pilote

Total
points

Points
par manches

Châssis

A

1

Piste 1/12° 13.5 Blinky

Patrick Hofer

2

1:1, 2:1 [3:9]

Awesomatix A12

A

2

Piste 1/12° 13.5 Blinky

Fabian Luca Widmer

3

3:1, 1:2 [2:8]

Yokomo YRX 12

A

3

Piste 1/12° 13.5 Blinky

Cédric Ansermoz

6

2:2, 3:4 [1:6]

Awesomatix A12

A

4

Piste 1/12° 13.5 Blinky

Jean-Claude Bignens

6

3:2, 1:4 [2:7]

Awesomatix A12

A

5

Piste 1/12° 13.5 Blinky

Arnaud Buffat

6

1:3, 3:3 [2:5]

Awesomatix A12

A

6

Piste 1/12° 13.5 Blinky

Jean-Philippe Michel

8

2:3, 1:5 [3:6]

Team XRay X12

A

7

Piste 1/12° 13.5 Blinky

Cyrille Gruaz

11

2:4, 1:7 [3:7]

Awesomatix A12

A

8

Piste 1/12° 13.5 Blinky

Michael Gilliand

11

3:5, 2:6 [1:8]

Roche P12 Evo 2

B

9

Piste 1/12° 13.5 Blinky

Abel Martinez

2

1:1, 3:1 [2:6]

/

B

10

Piste 1/12° 13.5 Blinky

Laurent Maggi

3

2:1, 3:2 [1:7]

Team XRay X12'22

B

11

Piste 1/12° 13.5 Blinky

Vincent Goublaire

6

2:2, 1:4 [3:6]

Team XRay X12'22

B

12

Piste 1/12° 13.5 Blinky

Lukas Segato

6

1:2, 3:4 [2:8]

/

B

13

Piste 1/12° 13.5 Blinky

Goran Eres

6

3:3, 2:3 [1:3]

/

B

14

Piste 1/12° 13.5 Blinky

Roman Wolff

9

2:4, 1:5 [3:7]

/

B

15

Piste 1/12° 13.5 Blinky

Francisco Chao

11

2:5, 1:6 [3:8]

Team XRay X12'19

B

16

Piste 1/12° 13.5 Blinky

Patrick Courtet

12

3:5, 2:7 [1:8]

Awesomatix A12

Résultats en catégorie Touring Car.

En catégorie Touring Car, cela roule très vite également. Les pilotes aux avant-postes roulent d'emblée à des vitesses stratosphériques, avec une célérité en courbe dantesque. A ce petit jeu, Bastien De Marco prend la première place en qualification, suivi de Patrick Hofer, aussi à l'aise avec une Piste 1/12° qu'avec une Touring Car, et de Luca Martinelli.

Patrick gagne la première manche de finale A devant Bastien et VaLentino Malighetti. La seconde manche est gagnée par Bastien devant Patrick et VaLentino. Et enfin, Bastien remporte la troisième et dernière manche devant Patrick et Cham Dassanayake. Au total des points, Bastien remporte la finale A devant Patrick et VaLentino.

Vincent Cavard domine la finale B. Levin Hirschi finit second de celle-ci, et Haupt Non-Merens troisième.

Markus Schneider remporte la finale C, devant Cristobal Santos et Gaël Favez.

La finale D est remportée par Alex Carusi devant Urs Bernet et Pascal Carlucci.

Finale

Position

Catégorie

Pilote

Total
points

Points
par manches

Châssis

A

1

TC 13.5 Open

Bastien De Marco

2

3:1, 2:1 [1:2]

Awesomatix A800MMX

A

2

TC 13.5 Open

Patrick Hofer

3

1:1, 3:2 [2:2]

Awesomatix A800MMX

A

3

TC 13.5 Open

VaLentino Malighetti

6

1:3, 2:3 [3:8]

Team XRay X4

A

4

TC 13.5 Open

Cham Dassanayake

8

3:3, 1:5 [2:6]

Team XRay X4

A

5

TC 13.5 Open

Renato Marrocco

8

1:4, 2:4 [3:5]

/

A

6

TC 13.5 Open

Sébastien Leuenberger

10

3:4, 1:6 [2:7]

Mugen Seiki MTC2 avec châssis carbone

A

7

TC 13.5 Open

Luca Martinelli

11

2:5, 3:6 [1:8]

/

A

8

TC 13.5 Open

Jean Hannecart

14

1:7, 3:7 [2:8]

Awesomatix A800MMX

B

9

TC 13.5 Open

Vincent Cavard

2

2:1, 1:1 [3:3]

Awesomatix A800MMCX

B

10

TC 13.5 Open

Levin Hirschi

3

3:1, 1:2 [2:5]

Mugen Seiki MTC2

B

11

TC 13.5 Open

Non-Merens Haupt

5

3:2, 2:3 [1:3]

Mugen Seiki MTC2

B

12

TC 13.5 Open

Paulo Rodrigues

6

2:2, 1:4 [3:5]

Team XRay X4

B

13

TC 13.5 Open

Steve Matthey

9

2:4, 1:5 [3:7]

Team XRay X4

B

14

TC 13.5 Open

Florent Denervaud

10

3:4, 2:6 [1:7]

Mugen Seiki MTC2

B

15

TC 13.5 Open

Paul Franceschi

13

3:6, 2:7 [1:8]

Awesomatix A800MMX

B

16

TC 13.5 Open

Martin Wenger

14

1:6, 2:8 [3:9]

Mugen Seiki MTC2

C

17

TC 13.5 Open

Markus Schneider

2

2:1, 3:1 [1:4]

/

C

18

TC 13.5 Open

Cristobal Santos

4

1:1, 3:3 [2:3]

Mugen Seiki MTC2

C

19

TC 13.5 Open

Gaël Favez

6

3:2, 2:4 [1:6]

Team XRay T4'2021

C

20

TC 13.5 Open

Georges Camicas-Aycardi

6

2:2, 3:4 [1:8]

Awesomatix A800MMX

C

21

TC 13.5 Open

Guido von Matt

8

1:3, 3:5 [2:5]

Infinity IF14 2.0

C

22

TC 13.5 Open

Daniel Burgener

9

1:2, 2:7 [3:9]

Team XRay X4

C

23

TC 13.5 Open

Marc Camporini

11

1:5, 2:6 [3:9]

Team XRay X4

C

24

TC 13.5 Open

Jérôme Colas

13

3:6, 1:7 [2:8]

Team XRay T4'2019

D

25

TC 13.5 Open

Alex Carusi

2

1:1, 3:1 [2:2]

Team XRay T4'2021

D

26

TC 13.5 Open

Urs Bernet

4

2:1, 3:3 [1:4]

Mugen Seiki MTC2

D

27

TC 13.5 Open

Pascal Carlucci

5

3:2, 2:3 [1:3]

/

D

28

TC 13.5 Open

Dani Caiazza

6

1:2, 3:4 [2:4]

ARC R11

D

29

TC 13.5 Open

Loic Baboulaz

10

3:5, 2:5 [1:5]

Vaterra

Ambiance en catégorie Formule 1 1/10° électrique!

Ambiance en catégorie Pan-Car 1/12° électrique!

Ambiance en catégorie Touring Car 1/10° électrique!

En savoir plus:

Texte: Georges.
Photos: Georges.