Présentation: La Traction 1/10° piste électrique Mugen Seiki MTC2 FWD. |
Edité le 19/01/2022. |
La Mugen Seiki MTC2 FWD n'est plus vraiment une nouveauté, car elle avait été présentée en août 2021. Toutefois, comme pour beaucoup de choses en cette période particulière, il s'écoule toujours un certain délai entre l'annonce d'un produit et le fait de le voir entre les mains d'un acheteur, en l'occurrence Antonio, qui pilote déjà en Touring Car une MTC2 et qui est le premier pilote que j'ai rencontré à avoir craqué pour cette auto. Un grand merci à lui donc pour m'avoir confié son auto quelques instants pour improviser une petite séance photos. La version Traction/FWS de la MTC2 partage l'immense majorité de ses pièces avec sa grande soeur de la catégorie Touring Car, et possède donc les qualités et les quelques défauts (fixation des boules de rotule aux triangles à revoir par exemple) de celle-ci. Son pilote a monté un ensemble contrôleur et moteur 17.5T brushless d'origine Hobbywing associé à des packs LiPo IP Intellect de 6000mAh. Le servo est un PowerHD S15 et la radiocommande d'origine Futaba. La carrosserie est la toute nouvelle Xtreme Aerodynamics RSX sortie il y a peu, dont l'inspiration est à chercher du côté d'Audi, et qui s'avère en vrai moins laide et un peu moins mal proportionnée que ne le laissaient penser les photos officielles de la marque à sa présentation. Son pilote testait avant cette séance photos une platine supérieure en deux parties ainsi que le système Active Shock Tower Rear (vendu sous la référence MUGA2543 pour l'arrière et MUGA2542 pour l'avant). Ce système est censé permettre au train arrière d'accroitre sa stabilité dans les virages serrés et au train avant d'accroitre sa stabilité sur les passages de vibreurs et en virage. Le principe est assez simple. Chaque support d'amortisseur est articulé de sorte que lorsque l'amortisseur est en compression, le support est en butée, et lorsque le l'amortisseur n'est pas en compression, le support est libre de mouvement, donc la roue peut retomber sous son propre poids plus vite que sous l'influence de la détente de l'amortisseur. |
En savoir plus:
Texte et photos: Georges. |