Première manche du SITCC, Grand-Saconnex, Genève (Suisse), 01/11/2008.

Edité le 07/11/2008.
Réactualisé le 09/11/2008.
Textes et photos: Georges.
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Introduction.

Carton plein pour cette première manche du SITCC (Swiss Indoor Touring Car Championship) en ce début novembre avec près de 70 pilotes inscrits, un succès donc avec de nombreux nouveaux visages venant de l'ensemble de la Suisse romande et de France, le tout dans une excellente ambiance dans les stands comme sur la piste.

Le nouveau règlement, qui propose trois catégories (contre deux la saison précédente) fut testé déjà une première fois lors d'un "warm-up" se déroulant à Confignon le 11 octobre, là où se déroulera la seconde manche le samedi 15 novembre. Il peut être résumé ainsi:

  • La "Division 1", ouverte à tous, moteur brushless Team Orion 10.5 Stock (réf. 28140, avec interdiction de modifier la structure du moteur et de changer le rotor), accus LiPo 7.4V sous boîtier ou NiCd/NiMH 6 éléments maximum, pneus autorisés Team Orion/HB 35 montés et collés (Pneus ERMC 2008/2009).
  • La "Division 2", ouverte à tous, moteur brushless Team Orion 13.5 Stock (réf. 28141, avec interdiction de modifier la structure du moteur et de changer le rotor) ou brushed Team Orion 23 tours Katana (roulements autorisés, uniquement tête standard, tête V2 interdite, soudure des charbons autorisés), accus LiPo 7.4V sous boîtier ou NiCd/NiMH 6 éléments maximum, pneus autorisés Team Orion/HB 35 montés et collés (Pneus ERMC 2008/2009).
  • La "Division 3", ouverte à tous, une catégorie qui pourrait être qualifiée de "Standard", "Promotion" ou "Découverte". Moteur Team Orion 23 tours Katana (roulements autorisés, uniquement tête standard, tête V2 interdite, soudure des charbons autorisés), accus LiPo 7.4V sous boîtier ou NiCd/NiMH 6 éléments maximum, pneus autorisés Team Orion/HB 35 montés et collés (Pneus ERMC 2008/2009).

Les manches de qualification comme de finales durent six minutes. Cependant, sur cette manche, afin de ne pas trop allonger le timing, les qualifications ont été ramenées à cinq minutes. Trois qualifications, deux finales, les deux comptants comme une course à part entière. Le départ de la seconde finale se court dans l'ordre inverse d'arrivée de la première.

En photo ci-contre, lors du briefing des pilotes, Jean-Marc Betticher, un des principaux sinon le principal architecte de la réussite de ce SITCC.

La piste.

La moquette grise de l'ERMC date déjà de quelques années, mais n'a quasiment pas pris une ride. Peu de poussières, très peu de peluchage, pas de pli, un bon grip même "à froid".

Le balisage modulable, lui aussi connu, est suffisament pénalisant en cas d'erreur sans être cassant pour les autos. Le tracé fut semble-t'il bien apprécié par l'ensemble des pilotes, débutants comme confirmés.

Technique châssis.

Quasiment toutes les marques présentes sur le marché européen sont représentées ici, mis à part Schumacher et Kyosho. Les Hot-Bodies Cyclone, de la version S à la dernière TC en passant par les versions antérieures, et les X-Ray, de la FK05 à la T2'008, se taillent la part du lion niveau représentation. En passant dans les stands, on pouvait également voir (chiffres sous réserve) du Tamiya (trois TRF416, un TRF415MSXX, un TA05-R), des HPI (des RS4 Sprint, une RS4 Pro et une RS4 Pro4), une Team Magic E4, une Serpent S400, deux Team Associated (une TC5 et une TC3), une Corally RDX Phi, et deux Team Losi JRXS-R.

Ci-après plus en détails quelques-uns des châssis présents.

La Hot-Bodies Cyclone d'André Degenève.

André Degenève, fidèle des circuits romands depuis de nombreuses années, faisait effectuer ici ses premiers tours de roues à sa Hot-Bodies Cyclone TC, pour laquelle il a refaite toutes les pièces en carbone dans un carbone type SSG, mais de couleur violet métallisé. Il l'a également équipé de quelques pièces optionnelles en aluminium anodisé "purple", comme des étriers et fusées avants, et fusées arrières. Ce pilote préfère rouler avec deux différentiels, celui de l'arrière se montant sans problème avec des blades sur les cardans à l'avant. (voir également page dédiée)

La Tamiya TRF416 de Brice Lautout.

Brice Lautout, pilote bien connu du championnat de France SSB, est toujours fidèle au Tamiya TRF416 (montée avec les triangles courts du TB Evo5 avec les supports appropriés, utilisation d'un spool JP Products). Outre une préparation sans reproche, certains détails retiennent l'attention comme l'absence de certaines vis sur la mini-platine arrière et le montage d'une vis sans tête pour relier la direction à la platine supérieure. Contrairement à ce qu'on peut lire sur certains forums anglophones, ce pilote, ainsi que d'autres, ont constaté qu'enlever purement et simplement la vis d'origine reliant la direction à la platine supérieure rendait certes la voiture un peu plus facile à piloter en entrée de virage, mais cette modification la rendait plus flou en milieu et sortie de virage, avec au final des temps au tour moins bons. La vis sans tête diminue le risque de tweak et ajoute un peu de flex sans perdre en rigueur de guidage. L'accu LiPo sous boîtier est monté décalé sur la droite pour l'équilibrage droite-gauche, mais les avis sont partagés sur cette disposition.

La HPI RS4 Pro de Tristan Degenève.

Cette auto fut le second châssis Touring 1/10° électrique de HPI, après la RS4 première du nom avec sa transmission arrière à pignons sous carter et avant la redoutable RS4 Pro2. Un bout de l'histoire de la R/C donc que faisait donc rouler ce jeune pilote.

La Team Associated TC5 de Grégory Jury.

Grégory Jury pilotait la seule TC5 du plateau.Cependant il n'est pas improbable qu'il ne soit plus tout seul à utiliser ce châssis américain injustement boudé sur la suite du championnat. On remarquera l'utilisation de joints toriques sous les vis de fixation à l'arrière de la platine supérieure dans le but d'assouplir l'ensemble.

La X-Ray T2'008 d'Arnaud Soulignac.

Arnaud Soulignac, pilote bien connu en championnat de France Touring 1/10° thermique, semble également particulièrement à l'aise également en électrique puisqu'il sera en lice pour le podium en "Division 1". R.A.S. à signaler sur sa X-Ray T2'008, mis à part des réglages et surtout des doigts qui vont bien.

La X-Ray T2'008 de Fabien Valantin.

Fabien Valantin, un autre pilote bien connu du championnat de France (et champion de France SSB en 2007), a délaissé sa Serpent S400 avec laquelle il avait roulé durant la saison 2008 pour une X-Ray T2'008 en vue de la saison 2009. Transfert identique également pour Walter Pollet-Villard.

La Serpent S400 de Sylvain Petitjean.

Ce pilote français, fidèle adepte de la marque néerlandaise (qui semble connaître de grandes difficultés en ce moment), roulait sur Serpent S400. Sur celle-ci étaient installés un différentiel arrière à pignons optionnel, un spool "JP Products" et des cardans arrières en aluminium d'origine Tamiya, plus légers. De la gaine thermorétractable est visible sur les axes de roue côté cardan afin de maintenir la graisse en place et d'augmenter leur durée de vie.

La Hot-Bodies Cyclone TC de Jean-Marc Betticher.

Jean-Marc Betticher roulait bien sûr avec la dernière Hot-Bodies Cyclone TC. Les photos parlent d'elles-mêmes, mais l'attention sera plus particulièrement dirigée sur le travail réalisé sur la mini-platine arrière. Le pack LiPo sous boîtier est monté légèrement décalé sur la droite.

La HPI RS4 Pro4 de José Arza.

Avec la Team Associated TC3 de Maxime Weebourg, la HPI RS4 Pro4 de José Arza devait être la seule autre voiture à transmision par cardan.

Le Prototype DMe850 de Batien de Marco.

Cette première manche du SITCC était également l'occasion de voir recourir le superbe prototype DMe850 conçu par Serge de Marco piloté par son fils Bastien, après un passage sur Hot-Bodies Cyclone. Par rapport à la version 2007 présentée sur ce même site, qui avait déjà fait ses preuves, l'auto présente un nouvel axe central à la conception très intéressante permettant un centrage quasi-parfait de la couronne et un montage facile et précis des poulies. (voir également page dédiée)

La Team Losi JRX-S de Stéphane Reverdy.

Sur sa Team Losi JRX-S, Stéphane Reverdy s'est confectionné une nouvelle platine supérieure plus souple que celle d'origine.

La Hot-Bodies Cyclone TC de Nicolas Crausaz.

En photos ci-après, la Hot-Bodies Cyclone TC de Nicolas Crausaz, un fidèle des circuits genevois.

Technique pneus et traitements.

Comme déjà dit précédemment, les pneus utilisés sont d'une dureté shore inhabituellement élevée pour rouler sur de la moquette, mais comme ils avaient globalement donné satisfaction la saison précédente, particulièrement aux pilotes peu expérimentés en raison de leur très faible usure et de leur grip convenable, ils ont été reconduits. La saison précédente a permis aux pilotes d'engranger un certain nombre d'informations sur leur utilisation, particulièrement sur le traitement. Trois sont principalement retenus. Premièrement, le classique Team Orion Violet, peut-être pas le plus performant, mais très homogène. Ceux qui l'utilisent avec succès, principalement en "Division 3" et "Division 2", l'utilisent non seulement pour traiter, mais aussi pour nettoyer le pneu, et le laisse agir assez longtemps. Deuxièmement, le MuchMore Blue Sap, un produit vraiment intéressant, mais à l'aspect peu engageant et à l'odeur vraiment...particulière. Vedette de l'année précédente, le LRP Top Grip Carpet 2 (ou son équivalent chez Nosram) perd du terrain, mais reste encore très employé. Vu également sur les tables du JRP Racing, du CS et du Fish. Les quelques très rares pilotes qui optaient pour les couvertures chauffantes chauffaient très modérément, autour de 40-50°C, en insérant un morceau de papier ménage pour un chauffage plus homogène.

Technique moteurs, variateurs et accus.

Niveau pack, quasiment plus que du LiPo sous boîtier, uniquement de marque Team Orion ou Peak Racing, les seuls homologués. Bien loin des spéculations inutiles et le plus souvent erronées qu'on peut encore lire sur des forums francophones notamment, les LiPo sous boîtiers ont fait la preuve de leur longévité, de leur stabilité et de leur facilité d'utilisation. Attention toutefois à la qualité du chargeur (il existe de très grosses différences au niveau du temps de charge par exemple, et ne parlons pas de la sécurité). Attention également au choix de la marque, là aussi de grosses différences, comme pour les NiMH d'ailleurs. Courrir trouver le plus bas prix sur internet à l'autre bout du monde se fait à ses risques et périls... Se méfier des indications type 16C, 20C, 25C, 30C qui n'ont de sens qu'au sein d'une même marque et ne permettent en aucun cas des comparaisons entre marques. Et comme partout, la qualité a un prix minimum, il ne faut pas rêver.
Toujours concernant les LiPo sous boîtier, quelques pilotes décalaient le pack sur la droite soit parce qu'ils n'ont pas le choix à cause de la construction du palier arrière, soit pour chercher à équilibrer d'un point de vue droite-gauche le châssis. On voit parfois sur le net des images de montage, pas toujours grâcieux, pour décaler le pack. Cependant, tous les pilotes ne voient pas forcément un avantage à ce décalage vers la droite, car il peut générer un excès de roulis excessif et rendre l'auto paresseuse dans les enchainements rapides. Idem pour du lest placé très à l'extérieur. Chacun doit se faire sa propre opinion par des tests et à la rédaction d'OverRC, on espère pouvoir faire un article sur ce sujet d'ici quelques temps.

Pour les moteurs brushed 23 tours obligatoires en "Division 1" et utilisables en "Division 2", rien de particulier à signaler par rapport à la saison précédente (voir reportages sur ce même site).
La nouveauté se situe surtout au niveau des moteurs brushless 13.5 en "Division 2" et 10.5 en "Division 1". Mais la plupart des pilotes n'ont pas eu trop de difficultés à trouver le rapport et le programme du variateur leur correspondant.
Si la variété est de mise pour les marques et modèles de variateurs brushless, en contrôleur brushless, on trouve principalement du LRP ou du Nosram, ou plus rarement du SpeedPassion ou du Novak.

Le magasin partenaire RC-Plus présentait un prototype quasi-définitif en avant-première, une semaine avant les Worlds, du contrôleur Brushless Team Orion et de son boîtier de programmation, le tout développé par KO Propo. De dimensions compactes, il devrait faire parler de lui en 2009, mais les concurrents s'annoncent nombreux, Futaba, Sanwa et d'autres marques connues, mais aussi des marques plus discrètes comme Team Laje et Keyence.

Technique Carrosserie.

Pas de surprise de ce côté, les deux standards que sont les Mazda 6 et MazdaSpeed 6 de chez Protoform sont majoritaires.

Autres.

Visibles en exposition l'imposant Stadium Truck 1/5° thermique de chez HPI basé sur l'actuel Baja. La radio, une KO Propo EX1 Helios, a été posée à côté sur la photo de droite pour donner une idée de la taille de l'engin.

Résultats "Division 3".

Daniel Caiazza décroche la pôle-position avec sa Hot-Bodies Cyclone flambant neuve et signe le seul 20 tours de cette catégorie en 5min13.57. Second, Mathias Kohler est en 19 tours avec un temps de 5min11.69 et Jean-Jacques Walther troisième avec un 19 tours en 5min12.21.

Détails des finales dans le tableau ci-dessous.

Finale

Place finale
au général

Place en
qualification

Place lors
de la première
finale

Place lors
de la seconde
finale

Pilote

Châssis

A

1

3

1

1

Jean-Jacques Walther

X-Ray T2'008

A

2

5

2

3

Richard Ros

Hot-Bodies Cyclone TC

A

3

1

4

2

Daniel Caiazza

Hot-Bodies Cyclone TC

A

4

2

3

4

Mathias Kohler

X-Ray T2'007

A

5

6

6

5

James Erné

X-Ray T2'007

A

6

8

5

8

Dominique Voegtli

Hot-Bodies Cyclone TC

A

7

7

7

6

Mario Voegtli

Hot-Bodies Cyclone TC

A

8

4

8

7

Philippe Corraza

/

B

1

9

1

1

Gilles Schmid

Hot-Bodies Cyclone TC

B

2

16

3

2

Antoine Lamouille

/

B

3

17

2

6

Patrice Vionnet

Hot-Bodies Cyclone S

B

4

13

5

3

Jolan Lamouille

/

B

5

10

4

5

Alex Pineda

/

B

6

12

8

4

André Degenève

Hot-Bodies Cyclone TC

B

7

14

6

7

Xavier Mangematin

/

B

8

15

7

8

Louis Ros

HPI RS4 Sprint

C

1

19

2

1

Cédric Decrausaz

/

C

2

23

1

4

Serge Maurer

/

C

3

17

3

2

Olivier Lamouille

/

C

4

20

4

3

Tifaine Lamouille

/

C

5

22

5

5

Tristan Degenève

/

C

6

24

6

7

Claudine Spreng

/

C

7

21

8

6

Calvin Sauthier

/

C

8

18

7

8

Samuel Bouch

/

Résultats "Division 2".

En "Division 2", on trouve quatre pilotes en 22 tours en qualifications, Jérôme Régnier (avec un temps de 5min00.18), Grégory Commeau (5min01.65), Maxime Weebourg (5min14.26) et Sylvain Petitjean (5min29.20).

Détails des finales dans le tableau ci-dessous.

Finale

Place finale
au général

Place en
qualification

Place lors
de la première
finale

Place lors
de la seconde
finale

Pilote

Châssis

A

1

2

1

1

Grégory Commeau

X-Ray T2'008

A

2

1

2

2

Jérôme Régnier

Team Losi JRX-S

A

3

5

5

3

Loïc Volpé

X-Ray T2'007

A

4

3

3

7

Maxime Weebourg

Team Associated TC3 Team

A

5

7

7

6

Claude-Alain Pralong

X-Ray T2'008

A

6

6

6

4

Heli Spreng

Team Magic E4

A

7

4

8

5

Sylvain Petitjean

Serpent S400

A

8

8

7

8

Yvanoë Miller

/

B

1

15

2

4

Rupert Kent

Tamiya TA05-R

B

2

9

3

3

Grégory Jury

Team Associated TC5

B

3

12

1

6

Eric Petoud

X-Ray T2'008

B

4

13

6

1

Rodrigo Amendoeira

Hot-bodies Cyclone TC

B

5

14

7

2

Thierry Morandi

Tamiya TRF415 MSXX

B

6

11

5

5

José Arza

HPI RS4 Pro4

B

7

10

4

8

Stéphane Reverdy

Team Losi JRX-S

B

8

16

8

7

Stan Hirschy

/

Résultats "Division 1".

En qualification, Jean-Marc décroche le seul 25 tours de la journée, avec un temps de 5min08.62. Derrière c'est très serré. On trouve ainsi Arnaud Soulignac avec un 24 tours en 5min02.92, Walter Pollet-villard (5min04.62) et Bastien de Marco (5min04.71).

Les finales seront riches en suspens, comme dans les autres catégories d'ailleurs. Leurs détails se toruvent dans le tableau ci-dessous.

Finale

Place finale
au général

Place en
qualification

Place lors
de la première
finale

Place lors
de la seconde
finale

Pilote

Châssis

A

1

1

1

3

Jean-Marc Betticher

Hot-Bodies Cyclone TC

A

2

3

2

2

Walter Pollet-Villard

X-Ray T2'008

A

3

8

3

5

Daniel Archimi

Hot-Bodies Cyclone Moore Edition

A

4

2

8

1

Arnaud Soulignac

X-Ray T2'008

A

5

6

5

4

Arnaud Buffat

Hot-Bodies Cyclone Moore Edition

A

6

4

4

8

Bastien de Marco

Prototype DMe850

A

7

7

6

7

Adrien Duborgel

X-Ray T2'008

A

8

5

7

6

Alexandre Amort

Tamiya TRF416

B

1

9

1

3

Steve Matthey

B

2

10

2

2

Fabien Valantin

X-Ray T2'008

B

3

11

6

1

François Bossetti

X-Ray T2'007

B

4

16

3

4

Cham Dassanayake

X-Ray T2'008

B

5

15

4

5

Paul Franceschi

Hot-Bodies Cyclone Hara Edition

B

6

13

5

7

Nicolas Hugenin

Tamiya TRF416

B

7

14

7

6

Fabien Fragnière

X-Ray T2'008

B

8

12

8

8

Romain Hecq

Hot-Bodies Cyclone TC

C

1

5

2

1

Georges Camicas-Aycardi

Tamiya TRF416

C

2

2

1

3

Yann Gradelet

Corally RDX Phi

C

3

3

5

2

Renaud Ott

Hot-Bodies Cyclone Moore Edition

C

4

4

3

6

Brice Lautout

Tamiya TRF416

C

5

1

6

4

Nicolas Crausaz

Hot-Bodies Cyclone TC

C

6

7

4

5

Jonathan Porta

Hot-Bodies Cyclone Moore Edition

La journée s'est terminée par une tombola organisée pour les pilotes encore présents après le démontage de la piste, avec comme à l'accoutumée de très beaux lots.

Quelques photos supplémentaires:

Autres sites ayant fait ou susceptibles de faire un reportage sur cette course:

Merci aux organisateurs pour leur collaboration.
Les résultats fournis par ce site n'ont pas de valeur officielle.
Textes et photos: Georges.