GenevaSeries 2022 Round 1
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Edité le 23/05/2022. |
Introduction.Cette première manche des GenevaSeries s'est déroulé sous un ciel étonnamment ensoleillé pour un début de mois de mai, avec une température elle aussi très clémente. Pour cette première de l'année, on comptait 26 inscriptions en catégorie Touring Car, dont trois débutants, 8 en catégorie Traction / FWD et 6 en catégorie Formule 1, un chiffre plutôt encourageant eu égard à la période actuelle. Pour ceux qui l'ignoreraient encore, cette piste est menacée à moyen terme. En effet, elle existe grâce à une convention établie entre l’Etat de Genève et le Service des Sports de la Ville de Genève, qui a donné lieu à une autre convention signée avec le GenevaModelCars, qui lui donne l’usufruit de la piste ainsi que la responsabilité de sa gestion. La convention convenue avec l’Etat de Genève ne sera pas renouvelée car l’Etat a préféré mettre fin à l’accord de manière unilatérale, afin de promouvoir un projet immobilier géré par la FTI (Fondation pour les terrains industriels de Genève) sur la parcelle occupée par la piste et ses voisines. Cela signifie que la piste devrait donc disparaître au plus tôt fin 2023, mais surtout que cette superbe piste a encore deux belles saisons d’existence devant elle et que tous les pilotes devraient en profiter au maximum. N'attendez pas trop donc... Plus de renseignements et un appel à projets sont disponibles sur cette page: "Objectif piste 2024: Appel à projets!". La prochaine manche aura lieu le samedi 28 mai 2022. |
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Le règlement.Le règlement 2022 reste sensiblement le même que celui de 2021. On retrouve ainsi une catégorie Touring Car avec une motorisation brushless 13.5 avec ou sans timing (ou brushless ou bushed de puissance équivalente ou inférieure) et une catégorie Traction/FWD qui courre avec des 17.5 en mode "Zero Timing". Dans ces deux catégories, les pneus restent les Hudy A1-36 qui avaient donnés toute satisfaction les trois saisons précédentes. Un classement spécifique "Débutants" en plus du classement général est toujours proposé en catégorie Touring. |
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La piste.Le tracé "Komoe" dans le sens anti-horaire avait été choisi pour cette première manche de la saison. Malgré une apparence de facilité rassurante pour les débutants, la technicité de ce tracé se révélait lorsqu'on commençait à accélérer le rythme, car il fallait une trajectoire précise comme le fil d'un rasoir pour éviter de parcourir trop de chemin dans le dédale de virages qui suivaient la fausse ligne droite en légère montée. Malgré le balayage et le sucrage de la piste, le grip de cette dernière était faible le matin, la faute aux pollens et à la poussière de sable qui sont régulièrement déposés par le vent sur certaines régions suisses depuis plusieurs semaines. Heureusement, au fur et à mesure des manches successives, le grip est rapidement monté. |
Technique châssis Touring.La SNRC R3 Pro de Michel Maurer.Michel Maurer disposait pour cette course d'une nouvelle auto dont on entend beaucoup parler, mais que finalement peu de personnes possèdent et font réellement rouler, la SNRC R3 Pro. Elles restent donc rares sur les circuits, et c'est la première fois que j'en voyais une en vraie. Du coup, elle a eu droit à une page de présentation dédiée. |
La XPress Execute XQ10R de Xavier Colmagne.Xavier Colmagne, manager du magasin français en ligne The Hobbies Gate, roulait pour la première fois sur cette piste avec une XPress XQ10R équipée de quelques options des pièces X-Square monoblocs faisant à la fois office de capot de cellule et de support d'amortisseur (référence X2-00108 pour l'arrière et X2-00107 pour l'avant) qui permettent entre autres de désolidariser si besoin les cellules, les pièces arrières permettant également de monter les supports de carrosserie arrière à l'horizontal, ainsi que du kit Xpress référence XP-10220 pour obtenir des biellettes doubles pour le train avant. Ce dernier permet de rigidifier le train avant pour plus de précision et de prédictibilité, au détriment de la directivité et de la vivacité. Son auto était équipée d'un moteur brushless 13.5T Team Powers Platinium v4.0 régulé par un contrôleur Radon Pro V4.1 de la même marque. |
La XPress Execute XQ2S de Xavier Colmagne.Lors de sa dernière manche de finale, ce pilote a testé une Execute XQ2S, le modèle Touring Car d'entrée de gamme de la marque XPress. Pour tenir un prix bas, on trouve un châssis, une platine supérieure et des supports en époxy au lieu du carbone et des cellules en plastique moulé. Mais les roulements à billes sont bien présents, tout comme des cardans articulés, des amortisseurs low-profile de très bonne facture, un support moteur en aluminium, le support flottant de servo de direction, le tendeur de courroie avant, des biellettes à pas inversés et des détails sympathiques empruntés à sa grande soeur, la Execute XQ10R, qui lui donne une touche "professionnel". On regrettera juste l'absence de barres antiroulis dans le kit, heureusement proposé à prix raisonnables en kit complet avec trois paires de barres sous la référence XP-10326. Plusieurs pilotes de la marque conseillent aussi de monter les sorties de spool en métal pour plus de sérénité, même si les sorties en plastique d'origine semblent raisonnablement dimensionnées. L'auto en photos ci-dessous était équipée justement desdites barres antiroulis et de vis en aluminium anodisé rouge pour l'esthétisme. Elle était motorisée par un Team Powers Platinium v3.0 régulé par un contrôleur MS-Radon de la même marque. Alors, quelles conclusions ont été tirées de ce test? Et bien difficile de se prononcer réellement, car les réglages de la XQ10R ont évolués tout au long de la journée, tandis que la XQ2S a été jetée brut de décoffrage dans la course. Et elle s'est plutôt très bien comportée car ses temps au tour se sont avérés plutôt encourageants pour la suite. Un produit cohérent et pertinent en tout cas pour aborder la compétition sans se ruiner, et qui a surtout le mérite d'exister, car les alternatives typées compétition à ce niveau de prix sont relativement rares, de nombreux constructeurs de châssis Touring Cars cherchant à monter en gamme et donc en prix leurs produits, un phénomène pervers et bien peu prospectif que l'on retrouve dans beaucoup d'autres secteurs économiques. |
La Team Xray T4 de Julien Croslan.La Team XRay T4 de ce pilote doit être une version de 2013 eu égard à la forme de ses supports de triangles et des cellules entre autres. Mais même si cette voiture a presque dix ans maintenant, elle n'est pas du tout périmée et se montre toujours vaillante. Julien Croslan, qui roulait pour la première fois sur cette piste et en course, a fini quatrième de la finale C. |
Technique châssis Traction /FWD.La MST TCR de Maxime Weebourg.La MST TCR de Maxime Weebourg, poleman et vainqueur de la finale A en catégorie Traction / FWD était équipée d'un modeste moteur brushless sensored 17.5T à calage fixe d'entrée de gamme dorigine Surpass et d'un petit contrôleur Toro TS50. Les packs sur les photos sont des LiPo Performa Shorty de 3600mAh premier prix, qui, il faut être honnête, ne sont pas vraiment des foudres de guerre sur la piste et ont un comportement bizarre sur les chargeurs bien programmés, mais ils ont servi en qualification malgré tout. Les finales ont été courues avec des (anciens mais toujours vaillants) IP Intellect 4400mAh prêtés par un autre pilote. Quelques modifications ont toutefois été effectuées sur le châssis. La plus visible est une barre de rigidification montée entre le train avant et le train arrière. Un servo de direction de petites dimensions récupéré sur une Pan-Car 1/12° a pris place caché sous le différentiel, ce qui permet d'avancer et de centrer le contrôleur brushless et d'avancer le pack de propulsion. Les porte-fusées arrière ont été montées mobiles, reliées au châssis avec des biellettes à pas inverés pour régler rapidement le pincement en fonction du grip de la piste. Les ressorts de suspension sont d'origine. Pour plus de fiabilité, les sorties de différentiel en aluminium et le support moteur en aluminium en option ont néanmoins été montés. La carrosserie est une Zoo Racing Gorillaz, légère, efficace sur la piste et très plaisante à piloter, même si ses lignes font pousser des cris d'orfraie aux intégristes du réalisme. Comme cela peut transparaitre au fil des différents reportages de course, j'ai beaucoup de sympathie pour ces châssis MST TCR, car elle présente un philosophie intéressante. Tout d'abord, elle offre tout d'abord une modularité permettant d'adopter différentes dimensions de carrosserie (empattement de 245mm, 251mm ou de 257mm) et différentes implantations moteur, FF, MR ou RR, en deux roues motrices. Les épures de suspension sont simples, car composées d'un triangle fixe inférieur et d'un triangle supérieur mobile, et sont identiques à l'avant et à l'arrière. La suspension est assurée par un simple ressort. Le choix technique d'opter pour un différentiel à billes est compréhensible et peut se justifier sur une Traction ou une Propulsion deux roues motrices, mais commercialement, c'est un peu plus délicat vu la destination première de cette auto. En effet, monter, régler et entretenir un différentiel à billes n'a rien de compliqué en soi, mais un différentiel à pignons bien conçu aurait été plus en adéquation avec le concept global. La transmission est du type "Direct Drive", c'est-à-dire que le pignon moteur engrène directement avec la couronne du différentiel. La TCR est livré soit nue, soit avec une carrosserie (réaliste et détaillée), soit dans une version RTR. L'auto est favorisée en pointe et en accélération par son poids, qui est bien plus faible que les châssis FWD plus orientée compétition. Pour s'amuser vraiment et un peu compenser la suspension minimaliste, il convient de la chausser de pneus performants. Les pneus livrés d'origine sont certes réalistes, mais pas vraiment utilisables. Les pneus performants étant quasiment systématiquement montés sur des jantes pleines, cela fera bien évidemment hurler les intégristes cités plus hauts. Attention toutefois en cas de participation à des courses où le poids minimum imposé imposerait de mettre trop de lest sur la TCR, cette dernière pourrait en souffrir. |
La Team XRay T4 équipée d'un kit de conversion Arrowmax Medius FWD de Jérôme Colas.Jérôme Colas, qui a terminé second de la finale A en catégorie Traction / FWD, roulait avec une Team XRay T4 équipée d'un kit de conversion Arrowmax. Ce kit de conversion Arrowmax Medius FWD, qui n'est plus fabriqué mais est encore disponible dans certains magasins, existait en deux verisions, avec châssis en carbone ou avec châssis en aluminium. Chacun contenait notamment ledit châssis, une platine supérieure en deux parties, un support moteur pour obtenir une position avant central du moteur, une courroie et sa poulie porte-couronne, un parechoc avant spécifique et un lest avant de 70g comportant sept logement alvéolaires pour des poids hexagonaux de 5g chacun. Cette auto était motorisée par un moteur brushless 17.5T Team Orion régulé par un contrôleur Hobbywing et alimenté par des packs Shorty Performa Racing de 6000mAh. |
La Mugen Seiki MTC2 FWD de Tonio Tony.Deux pilotes roulaient avec une Mugen Seiki MTC2 FWD en catégorie Traction, dont celle Tonio Tony qui a fini quatrième de cette catégorie. Niveau équipement, on retrouve sur son auto un moteur brushless Hobbywing V10 G3 et un contrôleur Xerun XR10 Pro de la même marque alimenté par des batteries IP Intellect 6200mAh. |
La Team XRay T4F'21 de Francisco Chao.Francisco Chao roulait avec une des deux Team XRay T4F'21 du plateau de la catégorie Traction / FWD. Son auto était équipée d'un moteur brushless Hobbywing V10 G3 et d'un contrôleur Xerun XR10 Pro de la même marque alimenté par des batteries IP Intellect 6200mAh. A noter que la marque slovaque a annoncé la commercialisation d'une version Traction de sa dernière Touring Car, la X4F, qui ne réserve pas de grandes surprises, hormis un bâti-moteur où le réglage de l'entredent entre le pignon moteur et la couronne se fait en tournant un excentrique sur lequel est fixé le moteur, "à l'ancienne". Son tarif prendra très certainement par rapport l'asenceur par rapport à la T4F, qui reste une valeur sûre dans cette catégorie. |
Technique châssis Formule 1.La Team XRay X1'21 d'Antoine Dubois.Sur six autos inscrites en catégorie Formule 1, cinq étaient des Team XRay X1. Antoine Dubois pilotait lors de cette première manche des GenevaSeries 2022 une X1 version 2021, visible en photos ci-dessous, et au volant de laquelle il a fini troisième de la finale A de cette catégorie Formule 1. On peut remarquer sur son auto l'adoption d'un moteur Hobbywing dernière génération, le Xerun V10 G4, dont on reparle plus bas dans le chapitre "Technique moteur". |
Technique moteurs.Certains pilotes en catégorie Touring Car et Formule 1 disposaient déjà des dernières versions des moteurs brushless Hobbywing, les Xerun V10 G4. D'après des passages au banc de test effectués par certains pilotes, les performances affichées sont relativement similaires aux derniers batches de la génération précédente. Le passage au banc a montré sur un moteur d'un pilote présent un décalage entre le timing mesurée et le timing affiché par la graduation sur le moteur plus important que celui constaté habituellement sur les G3, généralement peu important. Toutefois, rien de dramatique, on est loin des timings affichés faux de 15 voire 30° de certaines marques... Le rotor est annoncé comme ayant une résistance à la température particulièrement élevée (180°C) et comme étant "explosion-proof". Le stator est annoncé comme redessiné pour générer plus de puissance et une baisse de la résistance interne pour moins de chauffe et plus de rendement. Le refroidissement se veut également plus efficace. Sur la piste, d'après les impressions recueillies, les pilotes sont satisfaits de son fonctionnement. On ne devrait donc pas tarder à en voir de plus en plus! |
Résultats de cette manche.Les résultats complets se trouvent à l'adresse suivante: https://www.myrcm.ch/myrcm/main?pLa=fr&dFi=gemc&dId[E]=63665&hId[1]=search# |
Finale |
Position |
Catégorie |
Pilote |
Total |
Points |
Châssis |
A |
1 |
TC 13.5 Open |
Bastien De Marco |
15 |
1:8, 2:7 [3:6] |
Awesomatix A800MMX |
A |
2 |
TC 13.5 Open |
Sébastien Leuenberger |
14 |
3:8, 1:6 [2:4] |
Mugen Seiki MTC2 |
A |
3 |
TC 13.5 Open |
Arnaud Soulignac |
14 |
1:7, 3:7 [2:6] |
Mugen Seiki MTC2 |
A |
4 |
TC 13.5 Open |
Paul Franceschi |
13 |
2:8, 3:5 [1:5] |
Awesomatix A800MMX |
A |
5 |
TC 13.5 Open |
Vincent Cavard |
9 |
2:5, 3:4 [1:1] |
Awesomatix MMCX |
A |
6 |
TC 13.5 Open |
Cyrille Gruaz |
7 |
1:4, 3:3 [2:3] |
Mugen Seiki MTC2 |
A |
7 |
TC 13.5 Open |
Marc Camporini |
4 |
1:3, 2:1 [3:1] |
Team Xray X4 |
A |
8 |
TC 13.5 Open |
Steve Matthey |
4 |
1:2, 2:2 [3:2] |
Team Xray X4 |
B |
9 |
TC 13.5 Open |
Laurent Maggi |
16 |
1:8, 2:8 [3:7] |
Mugen Seiki MTC2 |
B |
10 |
TC 13.5 Open |
Guillaume Desbois |
14 |
3:8, 1:6 [2:1] |
Team XRay T4'20 |
B |
11 |
TC 13.5 Open |
Georges Camicas-Aycardi |
12 |
2:7, 3:5 [1:5] |
Awesomatix A800MMX |
B |
12 |
TC 13.5 Open |
Nicolas Crausaz |
10 |
1:7, 3:3 [2:3] |
Mugen Seiki MTC2 |
B |
13 |
TC 13.5 Open |
Alex Carusi |
10 |
2:6, 3:4 [1:4] |
Team XRay T4'21 |
B |
14 |
TC 13.5 Open |
Cristobal Santos |
8 |
3:6, 2:2 [1:0] |
Mugen Seiki MTC2 |
B |
15 |
TC 13.5 Open |
Maxime Franceschi |
8 |
2:5, 1:3 [3:1] |
Team Xray T4 |
B |
16 |
TC 13.5 Open |
Rodrigo Amendoeira |
6 |
2:4, 3:2 [1:0] |
Team XRay T4'21 |
C |
17 |
TC 13.5 Open |
Xavier Colmagne |
16 |
1:8, 2:8 [3:5] |
XPress Execute XQ10R |
C |
18 |
TC 13.5 Open |
Alexandre Steube |
14 |
1:7, 3:7 [2:7] |
3Racing XIs |
C |
19 |
TC 13.5 Open |
Sergio Marques |
13 |
3:8, 2:5 [1:5] |
/ |
C |
20 |
TC 13.5 Débutants |
Julien Croslan |
12 |
1:6, 2:6 [3:3] |
Team Xray T4 2013 |
C |
21 |
TC 13.5 Open |
Romain Dupont |
10 |
3:6, 1:4 [2:4] |
Team Xray T4 2019 |
C |
22 |
TC 13.5 Open |
Pierre-Yves Dupont |
7 |
3:4, 1:3 [2:2] |
Team Xray T4 2019 |
C |
23 |
TC 13.5 Open |
Michel Maurer |
5 |
2:3, 1:2 [3:1] |
SNRC R3 Pro |
C |
24 |
TC 13.5 Open |
Roland Steube |
3 |
3:2, 1:1 [2:1] |
3Racing Advance |
D |
25 |
TC 13.5 Débutants |
Elyo Maurer |
4 |
2:2, 3:2 [1:1] |
Tamiya TRF418 |
D |
26 |
TC 13.5 Débutants |
Eliott Gruaz |
3 |
1:2, 2:1 [3:1] |
HPI Pro5 |
Résultats en catégorie Traction / FWD.En qualification, Maxime Weeburg décroche la pôle-position au volant de sa MST TCR devant Jérôme Colas et Antonio Marinelli. Maxime remporte aisément les deux premières manches de la finale A et monte donc logiquement sur la première place du podium. A la seconde place, on retrouve Jérôme Colas qui gagne la troisième manche, et à la troisième place, le régulier Antonio Marinelli. |
Finale |
Position |
Catégorie |
Pilote |
Total |
Points |
Châssis |
A |
1 |
Traction / FWD |
Maxime Weeburg |
2 |
1:1, 2:1 [3:2] |
MST TCR |
A |
2 |
Traction / FWD |
Jérôme Colas |
3 |
3:1, 1:2 [2:3] |
Team XRay T4 avec kit de conversion Arrowmax |
A |
3 |
Traction / FWD |
Antonio Marinelli |
5 |
2:2, 1:3 [3:3] |
Mugen Seiki MTC2 FWD |
A |
4 |
Traction / FWD |
Tonio Tony |
8 |
3:4, 1:4 [2:4] |
Mugen Seiki MTC2 FWD |
A |
5 |
Traction / FWD |
Lionel Maurer |
10 |
1:5, 3:5 [2:6] |
MST TCR |
A |
6 |
Traction / FWD |
Francisco Chao |
12 |
3:6, 1:6 [2:7] |
Team XRay T4F'21 |
A |
7 |
Traction / FWD |
Sophie Franceschi |
13 |
2:5, 1:8 [3:8] |
MST TCR |
A |
8 |
Traction / FWD |
Julien Ducommun |
14 |
1:7, 3:7 [2:8] |
Team XRay T4F'21 |
Résultats en catégorie Formule 1.En qualification, Sylvio Kiesewetter s'impose devant Daniel "Gonzo" Ghirlanda et Antoine Dubois. Lors de la finale A, on trouve à l'arrivée ces mêmes pilotes dans le même ordre. |
Finale |
Position |
Catégorie |
Pilote |
Total |
Points |
Châssis |
A |
1 |
Formule 1 |
Sylvio Kiesewetter |
12 |
1:6, 2:6 [3:6] |
Team XRay X1'20 |
A |
2 |
Formule 1 |
Daniel Ghirlanda |
10 |
2:5, 1:5 [3:5] |
GONZO F1 2K23 |
A |
3 |
Formule 1 |
Antoine Dubois |
8 |
3:4, 1:4 [2:4] |
Team XRay X1'21 |
A |
4 |
Formule 1 |
José Arza |
6 |
3:3, 1:3 [2:3] |
X-Ray |
A |
5 |
Formule 1 |
Olivier Dubois |
4 |
3:2, 1:2 [2:2] |
Team XRay X1'20 |
A |
6 |
Formule 1 |
Sergio De Marco |
2 |
1:1, 2:1 [3:1] |
Team XRay X1 |
Action en catégorie Traction / FWD!
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En savoir plus:
Texte: Georges. |